D E R N I E R J O U R
Pourquoi ai-je ressenti, ce soir là un refus de notre province d'adoption, à notre départ du lendemain.
Nous devions partir et n'en n'avions pas envie. La mer et le soleil semblaient s'être concertés pour accroître encore notre désir de rester.
Jugez plutôt:
Nous arrivions de Locronan,
Nous sommes à Douarnenez,
Un coin de plage, des goélands , une sorte de façon de grotte dans la falaise,
Rien que de très banal.
Il y a le ciel le soleil et la mer :
Soudain, quart de tour,le choc
La mer est devenue d'or.
Il faut y aller, on a un peu faim quand même....
En route vers la maison d'Evelyne
qui dit :"Si je me dépêche on a peut -être une chance...."
On l'a eu la chance en changeant de décor :
Course contre la montre
Et la récompense au bout du mode:
Retour au bercail, dernière soirée, chargée d'émotion, à bientôt, mon Evelyne, mes enfants , et cette terre d'adoption, qui nous a offert un environnement à tirer des oh et des ah à bien des points de vue
Je reprendrai la phrase de "l'amiral de Kersauzon ": En Bretagne , il ne pleut que sur les cons", nous avons évité les gouttes , sans nous forcer, pendant ces quinze jours................